Après la période froide, la chaleur reprend posséssion des lieux en ayant pour effet de ne plus chasser la pollution. Le coté néfaste est qu'à force de rester sous le nuage jaunâtre, on ne s'en rend plus compte et ce n'est qu'en quittant notre chère ville adoptive que l'on se rend compte de l'ampleur du phénomène...
Du coup, masques à gaz rangés au placard le temps de notre escapade..
Mais que cela ne nous empêche pas de rester prudent au niveau des restaurants de bord de routes proposants des "ricos pollos" soit du "poulet grillée délicieux"...
Ou de lapins cuisinés "al Pastor"... Je vous jure, il s'agit d'un vrai lapin grillé qu'il est possible de consommer sur place...
Vente de soupe improvisée tôt dans la matinée.
Ou de boissons rafraîchissantes dénomées ici "refrescos", soit en vous arrêtant de votre plein gré,
Soit en étant arrangué par les rabateurs payés par les restaurants pour vous insciter à vous arrêter chez eux. Au final, on ne voit que des personnes agiter des drapeaux et on ne sait pas ou s'arrêter...Cela reste tout de même ultra typique et sympa. On adore les "viene viene".
Lors de la ramase du bois pour le chauffage, si il n'y a plus de place à l'avant de la camionnette, pourquoi ne pas s'incruster façon poster au milieu des fagots de bois.... Après tout..
Allez, Julie ayant été notre reporter roulant, on lui accorde un petit clin d'oeil...
1 commentaire:
Ah oui quand même, pas mal la pollution ! Mais je ne suis pas sûre que ce ne soit pas pareil dans les grandes villes françaises.
Très beau reportage photos, merci à la reporter en herbe.
Stéphanie.
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