Bon, et bien vous devez tous plus ou moins connaître les tacos comme présentés ci-dessous ? non ?
Et bien ici cela n'existe pas... A l'origine, les tacos sont en fait un concept qui vise à mettre dans une galette de maïs molle, différents ingrédients comme de la viande, du chile, des tomates, de la salade, du fromage frais râpé, ainsi que de la coriandre ou autres condiments divers et variés.
La légende dit que les américains trouvaient cela difficile à manger et que dès lors la galette molle s'est transformée en galette frite pliée en forme de coquillage dans laquelle il est plus facile de loger les différents composants. Légende ou réalité, peu importe...
Alors voici un zoom sur les derniers tacos fait à la maison. le sobriquet de ces tacos est "flautas" car ils ressemblent à des flûtes. La galette frite ne contient que de la viande de boeuf ou du poulet. L'explosion du goût vient du mélange qui s'opère au dernier moment lors de la mise en bouche d'un peu de chaque aliment.
Le tout accompagné très simplement d'une Corona bien fraîche et la magie opère..... Provecho.
vendredi 28 novembre 2008
mercredi 26 novembre 2008
Desierto de Leones
Comme son nom l'indique ; vous l'aurez tous compris ; Desierto de Leones signifie "Le désert des lions". Je peux vous rassurer, nous n'en avons vu aucun !
Cette étendue de forêt située à environ 3100m d'altitude est aussi appelée le "poumon de Mexico". Pour rappel, il faut imaginer la ville de Mexico (autrement appelé le D.F pour Distrito Federal) comme une étendue de constructions tapissant le fond d'un cratère volcanique d'une superficie incroyable. De ce fait, pour sortir du D.F., il est inévitable de passer des cols plus ou moins élevés.
Le Desierto de Leones est un de ces passages qui permet de sortir de Mexico pour se rendre à Toluca.
Certes le paysage est typique d'une forêt comme on pourrait la trouver dans nos contrées à une altitude moyenne de 1000m, sauf qu'ici on est à 3100m !!!
Les mexicains s'y rendent le week-end en famille pour s'y promener ou déguster un Barbecue improvisé dans un demi tonneau métalique coupé en deux... (comme devaient le faire nos parents lorsqu'ils partaient le week-end en R12 gordini ou TS).
Le Desierto de Leones est aussi très connu pour son couvent carmélite datant du XVI éme siècle.
Il est également facile de suivre le chemin de différents ermitages utilisés à cette époque pour la retraite des moines. Le tout se fond dans des sentiers de forêts humides et permettant de relier un ermitage à un autre.
Cette étendue de forêt située à environ 3100m d'altitude est aussi appelée le "poumon de Mexico". Pour rappel, il faut imaginer la ville de Mexico (autrement appelé le D.F pour Distrito Federal) comme une étendue de constructions tapissant le fond d'un cratère volcanique d'une superficie incroyable. De ce fait, pour sortir du D.F., il est inévitable de passer des cols plus ou moins élevés.
Le Desierto de Leones est un de ces passages qui permet de sortir de Mexico pour se rendre à Toluca.
Certes le paysage est typique d'une forêt comme on pourrait la trouver dans nos contrées à une altitude moyenne de 1000m, sauf qu'ici on est à 3100m !!!
Les mexicains s'y rendent le week-end en famille pour s'y promener ou déguster un Barbecue improvisé dans un demi tonneau métalique coupé en deux... (comme devaient le faire nos parents lorsqu'ils partaient le week-end en R12 gordini ou TS).
Le Desierto de Leones est aussi très connu pour son couvent carmélite datant du XVI éme siècle.
Il est également facile de suivre le chemin de différents ermitages utilisés à cette époque pour la retraite des moines. Le tout se fond dans des sentiers de forêts humides et permettant de relier un ermitage à un autre.
L'ensemble des constructions est assez spartiate mais se fond agréablement en pseudo ruines dans la végétation. On est loin de l'intégration de temple dans la jungle de Mowgli, mais avec un peu d'imagination, il ne pourrait manquer que les singes, panthères, serpents et ours..(quoique pour les ours, il se peut qu'il y en ait quelques uns rodant la nuit venant déguster les aliments laissés par les touristes au fond des poubelles) pour s'y croire...
En plus des sentiers marqués, il y a également des voies dignes des voies romaines qui permettaient à l'époque de ravitailler les différentes résidences des ermites.
Au final de l'expédition, une grosse faim s'est installée et le cri de ralliement peut s'apparenter au cri de ralliement d'une des deux équipes de Koh Lanta. Pour l'occasion, zoom sur l'équipe des rouges des tombananouitimbazoulou venant d'arracher le jeu de confort aux jaunes leur permettant ainsi de se rassasier de quelques grillons et sauterelles séchées...(oups, je sens que je dérape).Notre périple s'est achevé par la visite du couvent au beau milieu d'un jardin "à la française" et avec quelques superbes restes de fontaines. Cette vision d'un couvent au beau milieu de sapins est assez surprenante.
mardi 25 novembre 2008
La famille s'agrandit
La famille s'agrandit de deux nouveaux spécimens qui font la fierté de Tom.
La première, dame tarentule, réalisée en fil dénudé représente 3 j de labeur.
Je vous conseille de cliquer sur les photos pour admirer le travail.
Quelle beauté....
Nous avons été obligé de la ranger sur l'étagère attitrée ; la belle demoiselle ; faisant peur a nuestras chicas...
Notre ami iguane quant à lui correspond à environ 5j de travail. En toute honnêteté, je ne sais pas comment notre fournisseur officiel (qui commence à bien nous connaître) imagine ses sujets mais c'est à chaque fois très très bien réalisé.
La première, dame tarentule, réalisée en fil dénudé représente 3 j de labeur.
Je vous conseille de cliquer sur les photos pour admirer le travail.
Quelle beauté....
Nous avons été obligé de la ranger sur l'étagère attitrée ; la belle demoiselle ; faisant peur a nuestras chicas...
Notre ami iguane quant à lui correspond à environ 5j de travail. En toute honnêteté, je ne sais pas comment notre fournisseur officiel (qui commence à bien nous connaître) imagine ses sujets mais c'est à chaque fois très très bien réalisé.
dimanche 23 novembre 2008
Le Quartier
Voici quelques clichés pris au hasard au détour de notre zone de vie.
Bon nombre de maisons, qu'il est possible de côtoyer, ont toutes un certain charme permettant de nous retrouver transportés dans nos rêves d'enfance où nous imaginions le Mexique avec ses maisons ayant un toit découpé en arcades inversées, colorées d'orange, blanc et bleu..
Et bien, la réalité n'est pas très loin de ce cliché ancré dans nos mémoires. La preuve, cette maison d'un bleu soutenu se fond parfaitement au reste du paysage local...
On trouve aussi des façades style nid d'abeilles, toutes dans les teintes jaunes ou oranges.
Un point qu'il reste encore à éclaircir : l'élagage des arbres ou du moins des arbustes. Chaque arbre, chaque haie, bosquet etc... qu'il soit privé ou public (comme sur la photo ci-dessous) est taillé régulièrement. Jusque là, impossible de voir qui effectue l'entretien des arbres.... mais nous allons enquêter.
Un croisement comme plein d'autres où le mélange de végétation est toujours des plus intéressants.
En dehors des artères principales, il est possible d'emprunter bon nombre de ruelles pavées, bordées d'arbres superbes. Il faut avouer qu'il est impossible, comme ici, sans voiture ni piéton de savoir dans quelle partie du monde nous nous trouvons..
Quoique, avec un peu d'attention, la végétation au premier plan donne quelques indices de part la taille des feuilles... Brésil ou Mexique, le doute subsiste...
Bon nombre de maisons, qu'il est possible de côtoyer, ont toutes un certain charme permettant de nous retrouver transportés dans nos rêves d'enfance où nous imaginions le Mexique avec ses maisons ayant un toit découpé en arcades inversées, colorées d'orange, blanc et bleu..
Et bien, la réalité n'est pas très loin de ce cliché ancré dans nos mémoires. La preuve, cette maison d'un bleu soutenu se fond parfaitement au reste du paysage local...
On trouve aussi des façades style nid d'abeilles, toutes dans les teintes jaunes ou oranges.
Un point qu'il reste encore à éclaircir : l'élagage des arbres ou du moins des arbustes. Chaque arbre, chaque haie, bosquet etc... qu'il soit privé ou public (comme sur la photo ci-dessous) est taillé régulièrement. Jusque là, impossible de voir qui effectue l'entretien des arbres.... mais nous allons enquêter.
Un croisement comme plein d'autres où le mélange de végétation est toujours des plus intéressants.
En dehors des artères principales, il est possible d'emprunter bon nombre de ruelles pavées, bordées d'arbres superbes. Il faut avouer qu'il est impossible, comme ici, sans voiture ni piéton de savoir dans quelle partie du monde nous nous trouvons..
Quoique, avec un peu d'attention, la végétation au premier plan donne quelques indices de part la taille des feuilles... Brésil ou Mexique, le doute subsiste...
Ah voilà une photo que j'adore. A quelques encolures de la maison, voici une façade de restaurant qui pourrait être tout droit sortie d'un superbe film de Western tant elle semble hors du temps. On a l'impression que si l'on attend quelques minutes, on va pouvoir entendre les fers d'une horde de chevaux frapper le sol avec une armada de cow-boys en quête de saloon pour se désaltérer de bières ou whiskys locaux...
Mais finalement au bout de quelques secondes, la réalité revient elle aussi au galop avec l'arrivée de chevrolets, jeep et autres monstres mécaniques des temps modernes....
Mais bon, on peut toujours et encore rêver...
vendredi 21 novembre 2008
Les pages voyageuses de Pauline
Cela faisait un sacré moment que via le Blog des Burd's, nous allions jeter un oeil sur les aventures de Popo : décors et paysages superbes, qualité des photos tip top nickel chrome...
Alors pour que vous puissiez comme nous en profiter, il vous suffit de cliquer dans le menu de droite sur les chroniques voyageuses de pauline...
Buen surf (lire "sourf" en mexicain) a todos...
Alors pour que vous puissiez comme nous en profiter, il vous suffit de cliquer dans le menu de droite sur les chroniques voyageuses de pauline...
Buen surf (lire "sourf" en mexicain) a todos...
L'alimentation en eau
Mexico regorge de nombreux problèmes : l'insécurité, le trafic automobile, l'insuffisance des transports en commun, le niveau de pollution de l'air (avec un pic de février à avril), les tremblements de terre, l'alimentation en gaz mais aussi en eau.
Cet article va vous compter comment nous nous alimentons en eau. Ceci va plus relever du cours de physique avec les jeux de niveaux et de pompes que de la simple action d'ouvrir un robinet pour espérer que l'eau du réseau de la ville arrive jusque dans votre verre....
Pour la simple raison qu'il n'y a pas de réseau d'eau qui arrive jusqu'à la maison.
Avant tout, tout ce qui suit est bien réel. Alors ne prenez pas peur pour nous !
Je peux vous garantir que lorsque l'eau ne coule plus au robinet, il faut faire preuve d'un mélange de réflexion et de système "D" à la Mc Gyver....
Alors voila, pour que l'eau arrive de la rue à la maison, il faut exactement 3 citernes et 3 pompes.
Il y a tout d'abord une pompe qui se branche sur le réseau de la ville et qui remplit la citerne de 20.000 litres commune aux 6 maisons (7 avec celle du garde).
Mais à quoi servent tous ces fils qui plongent dans la cuve ? et bien c'est tout simple (enfin au bout d'un certain temps de pratique) ! Chaque citerne possède deux fils électriques qui touchent quasiment le fond de la cuve et deux fils électriques qui sont quasiment au sommet de la cuve. Lorsque la cuve est vide, les deux fils du bas ne laissent plus passer le courant et la pompe se met en route jusqu'à ce que le niveau d'eau remonte et dépasse les deux fils du haut, qui une fois au contact de l'eau laissent passer le courant, ce qui a pour effet d'arrêter la pompe. La cuve est donc de nouveau remplie. Simple non ?
je vous conseille de relire ce passage depuis le début si vous avez un doute.
Alors voila une photo de la cuve principale commune à toutes les maisons. Ces 7 paires de fils servent à éviter que les pompes individuelles se mettent en route lorsque la cuve générale est trop faible en eau et que les cuves des maisons demandent à se remplir... (ça se complique non ?)
Voila donc la vue sur chacune des 7 pompes avec chacune un bloc de commande électronique. La trappe de la cuve principale en photo ci-dessus se trouve à gauche de toutes les pompes.
La nôtre est la troisième en partant de la droite mais je suis sûr que vous vous en ...
Notre pompe principale bleue alimente donc notre citerne personnelle d'un volume de 7,000 litres située sous le parking de nos voiture. Elle correspond à la première trappe (premier plan).
Cet article va vous compter comment nous nous alimentons en eau. Ceci va plus relever du cours de physique avec les jeux de niveaux et de pompes que de la simple action d'ouvrir un robinet pour espérer que l'eau du réseau de la ville arrive jusque dans votre verre....
Pour la simple raison qu'il n'y a pas de réseau d'eau qui arrive jusqu'à la maison.
Avant tout, tout ce qui suit est bien réel. Alors ne prenez pas peur pour nous !
Je peux vous garantir que lorsque l'eau ne coule plus au robinet, il faut faire preuve d'un mélange de réflexion et de système "D" à la Mc Gyver....
Alors voila, pour que l'eau arrive de la rue à la maison, il faut exactement 3 citernes et 3 pompes.
Il y a tout d'abord une pompe qui se branche sur le réseau de la ville et qui remplit la citerne de 20.000 litres commune aux 6 maisons (7 avec celle du garde).
Mais à quoi servent tous ces fils qui plongent dans la cuve ? et bien c'est tout simple (enfin au bout d'un certain temps de pratique) ! Chaque citerne possède deux fils électriques qui touchent quasiment le fond de la cuve et deux fils électriques qui sont quasiment au sommet de la cuve. Lorsque la cuve est vide, les deux fils du bas ne laissent plus passer le courant et la pompe se met en route jusqu'à ce que le niveau d'eau remonte et dépasse les deux fils du haut, qui une fois au contact de l'eau laissent passer le courant, ce qui a pour effet d'arrêter la pompe. La cuve est donc de nouveau remplie. Simple non ?
je vous conseille de relire ce passage depuis le début si vous avez un doute.
Alors voila une photo de la cuve principale commune à toutes les maisons. Ces 7 paires de fils servent à éviter que les pompes individuelles se mettent en route lorsque la cuve générale est trop faible en eau et que les cuves des maisons demandent à se remplir... (ça se complique non ?)
Voila donc la vue sur chacune des 7 pompes avec chacune un bloc de commande électronique. La trappe de la cuve principale en photo ci-dessus se trouve à gauche de toutes les pompes.
La nôtre est la troisième en partant de la droite mais je suis sûr que vous vous en ...
Notre pompe principale bleue alimente donc notre citerne personnelle d'un volume de 7,000 litres située sous le parking de nos voiture. Elle correspond à la première trappe (premier plan).
Une fois la trappe ouverte, on retrouve de nouveau le système des fils électriques qui permet de garantir un remplissage optimal de la citerne (je rappelle juste que cette eau est l'eau qui coule de tous les robinets et qu'on est sensé boire...).
La pompe qui prend l'eau de cette citerne et qui alimente la troisième située sur le toit est stockée sous la troisième trappe devant les voiture. Je vous laisse admirer le spectacle. On croirait ouvrir une trappe d'un vieux bateau russe échoué depuis des lustres au bord de la mer noire...
Pour info, il n'y a aucun sucre qui permet de connecter les fils. Tout est à la M Gyver, au chatterton... La pompe a l'air d'avoir 50 ans et les tuyaux tous rouillés tout droit issue d'on ne sait où...
Heureusement que le boîtier de contrôle électronique est tout neuf...
Ouf, on y arrive. La pompe du bas prend donc l'eau dans la citerne sous les voitures et déverse l'eau dans la dernière citerne en plastique située sur le toit (celle de droite).
Et devinez quoi ??? lorsqu'on ouvre le bouchon, que voit-on ? les fameux fils électriques qui permettent de nouveau de déclencher la pompe lorsque le niveau d'eau est trop bas.
Ne vous inquiétez pas le sable ou la (...) qu'on voit au fond de la cuve fait parti du process : c'est la décantation...
Et Ô magie, lorsque dans la maison nous ouvrons un robinet, l'eau se met à couler par le tuyau positionné au fond de la citerne. Alors je vous le donne en mille : la pression de l'eau au robinet dépend de la hauteur de la cuve par rapport au même robinet ouvert et au niveau de l'eau dans la cuve....
Au début c'est un vrai cauchemar...
1 - On ouvre les robinets.
2 - Si la cuve du toit est vide, elle déclenche la pompe du bas qui prend l'eau de notre citerne personnelle et qui l'injecte dans la citerne du haut.
3 - Si la cuve personnelle est trop basse en niveau d'eau, la pompe de l'entrée de la cerrada (propriété) se déclenche et remplit notre cuve perso qui redéclenche la pompe perso pour alimenter la cuve du toit.
4 - Si la cuve de la cerrada est vide, la pompe générale se déclenche et remplit cette même cuve avec l'eau de la ville avant que nos pompes propres, alimentent nos cuves personnelles.....
Je m'arrête là car on pourrait compliquer et se demander comment cela fonctionne lorsque deux cuves personnelles sont vides en même temps.....
un vrai casse-tête..
Que dire en résumé ? c'est simple. Chaque fois que nous nous rendons dans un hôtel digne de ce nom et que la douche "crache" fort, nous en profitons à fond !!! un pur bonheur.
jeudi 20 novembre 2008
Détente à Acapulco
Comme le titre l'indique, il s'agit d'un moment de détente à Acapulco. Je pense que la photo peut, de ce fait, se passer de commentaires.
Et oui, nous avons profité de trois jours pour passer le week-end dernier au sud d'Acapulco. Nous n'étions pas au sein de la baie tant connue mais à environ 30 mns de voiture dans un coin très calme avec tout ce qu'il faut pour se redonner un coup de fouet du tonnerre : plage sans personne avec des rouleaux immenses (26°), piscine pour nous tous seuls (28°), hôtel superbe, herbe verte, palmiers, montagne, soleil, chaleur (32°)...
Surtout que depuis tout petit, le nom d'Acapulco évoque quelque chose de magique qui nous semble être un rêve impossible à réaliser. Je peux vous garantir qu'une fois qu'on y est, c'est comme un pan du passé qui prend forme et devient réalité....
Les spécialistes auront vite fait la correction. On essaye tant bien que mal, avec quelques fautes de traduction de s'adapter aux gringos, qui eux, de leur coté ne font vraiment aucun effort...
Ce qui est totalement étrange est qu'une fois à Acapulco, nous avons tous eu l'impression que nous avions fait un périple d'environ 10 heures d'avion tant le dépaysement est total.
Les environs sont magnifiques avec une vue sur une colline avoisinante où on peut voir diverses maisons et hôtels tous plus sympas les uns que les autres dans un style assez cubique devant dater des années 80.
Cette partie de la côte n'est pas "emprisonnée" dans les baies classiques d'Acapulco et est de ce fait totalement exposée aux vagues du pacifique. Je peux vous garantir que l'ensemble de la troupe s'est vraiment amusé et que les rouleaux sont impressionnants.
Nous avons même côtoyé de très près, à environ 3 mètres, un banc de raies dixit les uns et des requins de roches, dixit les autres.
Quoiqu'il en soit, les mexicains présents comme nous, sont très très vite sortis de l'eau dans le doute de l'identification exacte des monstres marins.
Pour Jean-Paul et Nanou,voici des spécimens de palmiers à priori appelés palmiers du voyageurs qu'on retrouve en Martinique.
Et puis une visite de la côte sans coucher de soleil ne serait pas une visite totale, alors imaginez-vous sur une chaise longue, dans une ambiance à 30°c, sur le coup des 18h et vous vous laissez aller à admirer le coucher de soleil, bercés par le grondement des vagues....
Et oui, nous avons profité de trois jours pour passer le week-end dernier au sud d'Acapulco. Nous n'étions pas au sein de la baie tant connue mais à environ 30 mns de voiture dans un coin très calme avec tout ce qu'il faut pour se redonner un coup de fouet du tonnerre : plage sans personne avec des rouleaux immenses (26°), piscine pour nous tous seuls (28°), hôtel superbe, herbe verte, palmiers, montagne, soleil, chaleur (32°)...
Surtout que depuis tout petit, le nom d'Acapulco évoque quelque chose de magique qui nous semble être un rêve impossible à réaliser. Je peux vous garantir qu'une fois qu'on y est, c'est comme un pan du passé qui prend forme et devient réalité....
Les spécialistes auront vite fait la correction. On essaye tant bien que mal, avec quelques fautes de traduction de s'adapter aux gringos, qui eux, de leur coté ne font vraiment aucun effort...
Ce qui est totalement étrange est qu'une fois à Acapulco, nous avons tous eu l'impression que nous avions fait un périple d'environ 10 heures d'avion tant le dépaysement est total.
Les environs sont magnifiques avec une vue sur une colline avoisinante où on peut voir diverses maisons et hôtels tous plus sympas les uns que les autres dans un style assez cubique devant dater des années 80.
Cette partie de la côte n'est pas "emprisonnée" dans les baies classiques d'Acapulco et est de ce fait totalement exposée aux vagues du pacifique. Je peux vous garantir que l'ensemble de la troupe s'est vraiment amusé et que les rouleaux sont impressionnants.
Nous avons même côtoyé de très près, à environ 3 mètres, un banc de raies dixit les uns et des requins de roches, dixit les autres.
Quoiqu'il en soit, les mexicains présents comme nous, sont très très vite sortis de l'eau dans le doute de l'identification exacte des monstres marins.
Pour Jean-Paul et Nanou,voici des spécimens de palmiers à priori appelés palmiers du voyageurs qu'on retrouve en Martinique.
Et puis une visite de la côte sans coucher de soleil ne serait pas une visite totale, alors imaginez-vous sur une chaise longue, dans une ambiance à 30°c, sur le coup des 18h et vous vous laissez aller à admirer le coucher de soleil, bercés par le grondement des vagues....
mercredi 19 novembre 2008
Sur la route d'Acapulco
Faute d'avoir un pont pour le 11 novembre, Mexico possède un jour férié pour fêter la révolution le 17 novembre.
Nous avons donc décidé de profiter des ces trois jours pour aller prendre un coup de chaud à Acapulco. Ceci fera l'objet de l'article suivant.
Aller de Mexico à Acapulco se résume à aller de Lyon à Perpignan, en ajoutant une petite heure de route pour sortir de la ville. Heureusement pour nous, nous habitons dans le sud à environ 15 kms de l'autoroute mais il nous faut tout de même 1 heure... !!!
L'autoroute est la même que pour aller à Tepotzlan sur environ 40 kms. S'en suit Cuernavaca puis Acalupco sans autre escale importante. Le paysage est montagneux du début à la fin avec une autoroute en cours de réfection mais avec un excellent niveau de qualité. La vitesse est limitée à 120, mais bon.... vous voyez ce que je veux dire.
Bon nombre de personnes travaillent sur cette route sans aucune protection ni panneaux de type "chantiers en cours".
Nous avons commencé notre périple par des paysages superbes jonchés de meules de foin. La différence est que tout est effectué à la main, de la coupe au ramassage jusqu'à la mise en botte. Chaque botte ressemble d'ailleurs à un tipi indien donnant un paysage tout à fait étonnant.
Nous sommes ensuite tombés face au volcan popo (Popocatépetl) appelé aussi montage qui fume haut de 5465m. Lorsque le vent chasse le brouillard de Mexico, les volcans aux cimes enneigées apparaissent, dessinant une des visions les plus impressionnantes du Mexique.
Le guerrier Popocatépetl, dit la légende, amoureux de la princesse Iztaccihuatl (nom d'un autre volcan proche du Popo) combattît un grand rival pour la conquérir. Mais la princesse mourut, le coeur brisé, croyant son héros mort. Dans sa douleur, Popocatépetl se transforma en volcan avec la princesse pour voisine : le profil de l'Iztaccihuatl ressemble en effet étrangement à une femme endormie.
Petit zoom sur un chantier de changement de panneau publicitaire. Difficile de le voir mais notre ami mexicain travaille quasiment sans filet ni mousqueton ni harnais de sécurité...
Nous avons donc décidé de profiter des ces trois jours pour aller prendre un coup de chaud à Acapulco. Ceci fera l'objet de l'article suivant.
Aller de Mexico à Acapulco se résume à aller de Lyon à Perpignan, en ajoutant une petite heure de route pour sortir de la ville. Heureusement pour nous, nous habitons dans le sud à environ 15 kms de l'autoroute mais il nous faut tout de même 1 heure... !!!
L'autoroute est la même que pour aller à Tepotzlan sur environ 40 kms. S'en suit Cuernavaca puis Acalupco sans autre escale importante. Le paysage est montagneux du début à la fin avec une autoroute en cours de réfection mais avec un excellent niveau de qualité. La vitesse est limitée à 120, mais bon.... vous voyez ce que je veux dire.
Bon nombre de personnes travaillent sur cette route sans aucune protection ni panneaux de type "chantiers en cours".
Nous avons commencé notre périple par des paysages superbes jonchés de meules de foin. La différence est que tout est effectué à la main, de la coupe au ramassage jusqu'à la mise en botte. Chaque botte ressemble d'ailleurs à un tipi indien donnant un paysage tout à fait étonnant.
Nous sommes ensuite tombés face au volcan popo (Popocatépetl) appelé aussi montage qui fume haut de 5465m. Lorsque le vent chasse le brouillard de Mexico, les volcans aux cimes enneigées apparaissent, dessinant une des visions les plus impressionnantes du Mexique.
Le guerrier Popocatépetl, dit la légende, amoureux de la princesse Iztaccihuatl (nom d'un autre volcan proche du Popo) combattît un grand rival pour la conquérir. Mais la princesse mourut, le coeur brisé, croyant son héros mort. Dans sa douleur, Popocatépetl se transforma en volcan avec la princesse pour voisine : le profil de l'Iztaccihuatl ressemble en effet étrangement à une femme endormie.
Petit zoom sur un chantier de changement de panneau publicitaire. Difficile de le voir mais notre ami mexicain travaille quasiment sans filet ni mousqueton ni harnais de sécurité...
Photo volée sur une aire de repos (si l'on peut dire..) d'un cours d'eau au milieu d'un végétation ressemblant fortement, à cette étape de notre voyage, à de la garrigue du sud de la France.
Puis surprise de taille, nous passons au travers d'un mélange de végétation totalement fou : Figuiers, puis pins, puis cactus ainsi que palmiers. D'une montagne à l'autre le changement est total. Vraiment surprenant.
Nous avons réussi à prendre en cours de route quelques cactus candélabres se mélangeant au reste de la flore sortant de la végétation comme des pointes de couteaux.
Nous avons également trouvé un point de vue appelé "mirador" (je ne pense pas qu'une traduction soit nécessaire) où nous avons pu prendre un superbe pont ainsi qu'un paysage semi désertique... Et hop un petit zoom sur la troupe.
Félicitation aux employés de l'autoroute pour l'entretien de l'ensemble de la végétation présente sur le terre-plein central. Tout est taillé au cordeau, des ficus aux bougainvilliers en passant par les cocotiers ou palmiers.
Comme d'habitude, il n'est pas rare de tomber sur des transports en commun que ce soit pour les animaux, ...
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