Il est littéralement entouré une muraille de montagnes escarpées ou la jungle a encore une fois commencé son invasion.
Fleurs, églises, murs rouges, et marchés locaux....30 pesos pour le parking en illimité (1,5€) et en route pour la visite.
Encore une fois les bougains sont en fleurs arborant fière allure au sommet des murs d'enceinte.
Eglise par ci...
Eglise par là...
Murs orangés, de fleurs arborés...
Fièrement arpentée des conquistadors de passage...
Le marché local est placé devant l'entrée du couvent ou se mêlent messes, mariages et "Quince años". Il permet lors du passage des touristes ou des malinalquois (appellation tout juste inventé il y a 3 secondes) de vendre ses trois avocats, 4 casseroles en terre cuites, ses trois tacos ou quesadillas. Place au petit commerce absolument magique...
Le couvent quant à lui a conservé ses peintures murales connues de part le pays comme étant pratiquement les seules fresques qui mélangent des représentations catholiques et mayas.
Le tout dans des tons de noirs et bleus marines non encore vus.
Nous avons tout de même retrouvé les traditionnels rouges et marrons.
Quel doux mélange d'un moine et de la mort... Décidément le culte de la mort est vraiment présent au Mexique. Impossible d'y échapper.
Alors qu'à quelques mètres de là se célèbre un mariage avec une troupe de Mariachis.
Nous avons tout de même retrouvé les traditionnels rouges et marrons.
Quel doux mélange d'un moine et de la mort... Décidément le culte de la mort est vraiment présent au Mexique. Impossible d'y échapper.
Alors qu'à quelques mètres de là se célèbre un mariage avec une troupe de Mariachis.
Musique à fond dans l'église. Cela change une fois de plus de chez nous ou les curés n'acceptent ni les enfants qui pleurent ni les applaudissements....
A la sortie, petit tour sur le marché local ou les bâches à béton bleues font guise de toit de fortune.
A la sortie, petit tour sur le marché local ou les bâches à béton bleues font guise de toit de fortune.
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