Il est clair qu'après quelques heures; pouvant se compter au delà des doigts d'une main ; la fatigue pouvait se faire sentir. L'aéroport étant vide de chez vide, on pouvait facilement imaginer ce que doit être une évacuation dans un pays en guerre. Il ne manquait plus que les balles et les cris des rebelles pour faire monter la pression déjà bien grande.
2 commentaires:
Au fait, c'est quoi le nom de la planète où vous vous êtes expatrier ?
Plaisanterie mise à part, il est difficile d'imaginer la tension que vous avez due subir tant que l'on n'a pas vécu ce genre d'expérience, que l'on n'a d'ailleurs pas trop envie de vivre !
Bref, vous voilà tous réunis et c'est tant mieux, en espérant que cela se calme vraiment, je veux dire définitivement.
Bises à tous les 5. Stéphanie
Drôle d'impression de vous voir comme cela. Dark Vador ferait presque moins peur...
On était tellement content de vous voir revenir qu'effectivement, on ne s'est pas rendu compte de ce moment éprouvant.
Bisous, et je garde le prochain commentaire sur les "biquettes" pour Agathe, qui à mon avis va me dire "oh j'aimerais trop y aller".
Valérie
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