dimanche 7 septembre 2008

Les métiers de la rue

Voici comme promis un article mettant en avant les différents métiers de la rue. Globalement à Mexico, il existe des tas de métiers de rue. Chaque activité doit normalement être gratifiée de quelques pesos.

Les"viene viene" :
Il existe les "viene viene" qui sont en fait des personnes en charge de garer votre voiture le long d'un trottoir. Ici les seuls parkings payants sont les parkings publics ou ceux des magasins. Il n'existe pas de parking pour les voitures garées le long des trottoirs. C'est là qu'interviennent les "viene viene". Ils s'occupent d'arrêter la circulation lorsque vous vous présentez devant la place libre, proposent de laver votre voiture, la surveillent et enfin s'occupent de stopper la circulation lors de votre départ. Le service est sympa et se paye environ 5 pesos.
La traduction de "viene viene" peut à 100% s'apparenter à ce que nous pourrions dire en français : "venez, venez".

Les vendeurs à la sauvette :
Il est possible, une fois le feu passé au rouge, d'acheter toute sorte de choses : des cigarettes à l'unité, des cartes de téléphone (équivalent Mobicarte), des paquets de chips (3 pour 10 pesos), des paquets de bonbons, des gâteaux, des journaux (3 pesos), des fleurs, des parapluies, des cartes du mexique (style cartes affichées au mur dans les salles de classe des écoles), enfin bref tout ce qui peut être vendu.

Vous trouverez ci-dessous les photos d'autres activités comme :

- les ramasseurs de cartons qui revendent le fruit de leur collecte au poids.

- les vendeurs de Chicharron : peau de porc frit agrémentée d'une sauce au vinaigre.

- Les vendeurs de jus de fruits pressés.

- Les restaurants ambulants : tacos, enchiladas fabriqués de manière artisanale etc..., le tout pour un prix défiant toute concurrence : entre 15 et 30 pesos !!
Ici, les mexicains ne recommandent pas de s'y risquer, même si chacun des étalages restent alléchant lorsque la faim nous gagne.

- Les cireurs de chaussures qui traînent avec eux leur carriole, directement sortie d'on ne sait où et qui pour la plupart d'entre elle a tellement servie que les roues se résument à des jantes où il n'y a plus de pneus...

- Les fleuristes, souvent situés à un coin de rue, proposent tout un tas de fleurs fraîchement disposées dans des sauts de peinture. Un bouquet de tournesols avec un mélange d'autres fleurs oranges coûte moins de 100 pesos soit environ 7 euros.

Enfin bref, trêve de bavardages et place aux images....

Le business du carton : motorisé


ou manuel (dans la plupart des cas).

Le vendeur de Chicharron ou de chips (il prend des poignées de chips à la main dans un carton et remplit des petits sacs plastiques....)

Le vendeur de fruits pressés.

La "tacéria" ambulante.

Le cireur de rue avec sa carriole caractéristique.

Et enfin le fleuriste du quartier (à une rue de chez nous) où il suffit de poser la voiture en vrac, de sortir, choisir, payer, et hop, emballé !!
En toute honnêteté, les couleurs sont vraiment superbes et les bouquets très bien agrémentés. Top niveau !
Et puis après une bonne journée de boulot, rien ne vaut une bonne sieste...

1 commentaire:

Burd's family a dit…

Vous n'avez pas honte de laisser vos enfants faire la sieste sur un banc du quartier ? Si les grands-parents voyaient ça !!!
C'est vraiment chouette ces marchands de rue, mais pour nous c'est plutôt signe de lieu de villégiature si vous voyez ce que je veux dire ...
Bref, la maison doit être emplie de fleurs, cela doit respirer la joie de vivre ! Enjoy !
Stéphanie