Et là, découverte de chemins à la limite du carrossable ou il était impossible de se croiser avec l'espace dédié au dépassement, distant du précédent d'au moins 300 à 400m.
Quoi qu'il en soit, ce fût le baptême du feu pour le nouveau monstre de Didier...(le Tahoe, gris à droite).Les parapentistes quant çà eux fonçaient comme des dératés...
Nous avons donc découvert à 2500m une pinède superbe, nous rappelant de très près le massif de Estérel ou des maures. Odeur de pins très forte, tapis d'aiguilles au sol. On se serait cru, dans le sud de la France...
Faîtes vous un petit "ksi ksi ksi ..." de cigales et vous pourrez vous y croire.
Le plus étrange restait que chaque pin avait la base de son tronc noire, comme si il avait été brûlé. Après investigations, nous avons découvert que la résine des pins était utilisée il y a peu de temps encore à but commercial. Ainsi, chaque arbre était saigné, et orné de barres de métal en V (comme sur la photo) pour permettre à la résine de s'écouler dans des récipients adaptés.
Puis, afin de permettre à l'arbre de survivre à cette mutilation, A l'identique de Rambo cicatrisant son torse traversé par une flèche explosive, un petit coup de feu refermait la nouvelle cicatrice ainsi formée....
Pour les hévéas on savait, mais pour les pins ce fût une surprise.
3 commentaires:
on se croirait vraiment dans le massif de l'Esterel...
On dirait le Sud
Le temps dure longtemps
Et la vie sûrement
Plus d'un million d'années
Et toujours en été.
comme dirait Nino :-)))))))))
Dans cette pinède il est vrai qu'on entendrait presque le cri de cigales !
Mam
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